La crise actuelle ne ressemble pas aux crises que le monde a connues par la passée. Celle-ci se distingue par son ampleur, sa soudaineté et par son impact qui a touché l’ensemble de l’économie mondiale. Son choc d’origine externe à la sphère économique a affecté à la fois l’offre et la demande. Elle se singularise également par l’ampleur des mesures prises pour l’endiguer. Le Maroc est d’ailleurs l’un des pays qui a décidé d’y faire face en faisant la part belle à la bonne gouvernance permettant l'édification d'un climat des affaires séducteur garantissant une reprise progressive de son activité économique. Axes du dossier
La nouvelle position de l’Espagne en faveur de l'initiative marocaine d’autonomie au Sahara marocain est une décision qui donnera certainement un sérieux coup d'accélérateur au processus de règlement du conflit régional autour du Sahara marocain. Elle renseigne aussi sur la détermination espagnole d’ouvrir une étape de confiance et de transparence dans les relations entre les deux pays en vue de relever les défis communs dans un contexte géopolitique mondial incertain.
Face à un déficit pluviométrique aigu de 64% par rapport à la normale et en exécution des Hautes Orientations Royales, un programme exceptionnel a été mis en place par le gouvernement pour venir à la rescousse des agriculteurs et des éleveurs frappés de plein fouet par cette problématique.
Ce programme de 10 milliards de dirhams porte sur trois axes principaux. Il s’agit de la protection du capital animal et végétal et la gestion de la rareté des eaux, l'assurance agricole et l'allègement des charges financières des agriculteurs et des professionnels.
Les 100 jours qui se sont écoulés depuis la cérémonie de nomination par SM le Roi Mohammed VI des membres du nouveau gouvernement ont été marqués par un changement de qualité dans la conduite de l’exécutif, présidé par Aziz Akhannouch. Cette cohésion a permis au gouvernement, dès sa prise de fonction officielle, le 13 octobre 2021, d’opérationnaliser certains chantiers structurants, dont celui de la généralisation de la protection sociale.
Les incertitudes planent toujours sur les perspectives économiques et sociales du Maroc. Les nouvelles vagues de la pandémie dans plusieurs pays partenaires et les restrictions que les autorités nationales ont été amenées à mettre en place en disent long sur l’évolution future des indicateurs économiques et sociaux. Des données que les prévisions telles que établies par Bank Al-Magrib et le Haut-Commissariat au plan (HCP) ont déjà intégrées.
L’identification du variant Omicron a suscité des inquiétudes croissantes quant à l’efficacité des vaccins, surtout en raison du nombre élevé de mutations et de sa propagation rapide notamment en Afrique du Sud. Selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), Omicron présente plus de 30 mutations dans ce qu’on appelle la protéine spike, qui est la clef que le virus utilise pour entrer dans la cellule. Dans ces conditions, les États sont plus que jamais préoccupés par le suivi de la propagation du nouveau variant de la Covid-19, et la mise en place des mesures restrictives pour arrêter sa transmission.